Au passage, l’économiste écorche l’idée selon laquelle l’immobilier, valeur refuge, continue de s’apprécier en période de crise. « Si cet argument peut être valable lorsque les prix sont relativement peu élevés et que les taux d’intérêt sont bas, il devient caduc en période de bulle et de remontée des taux d’intérêt », tranche-t-il.