Cet isolement des corses dans les
profondeurs de l’île, sans liens avec le continent pendant plus d’un
siècle, est admis par la grande majorité des auteurs modernes mais ils
n’en déduisent pas que les populations aient vécu suivant des règles de
vie organisées et en pratiquant leur rites religieux propres à l’instar
de tout autre communauté humaine. La Corse leur apparaît littéralement
vide de toutes populations.